2013年6月10日月曜日

Intégration d'une personne dans une nouvelle culture

Mon collègue japonais dans le club international de la ville s'inquiétait de Musulmans et d'Hindous qui ne mangeaient pas de porc ou de boeuf, respectivement. Je lui ai répondu simplement ceci : Ils savent qu'ils sont au Japon, ils savent qu'il va y avoir de la telles viandes et ils savent que c'est leur propre choix s'ils ne mangent pas cette viande. Ils comprennent, et on a rien de plus à devoir leur faire. La seule chose que l'on a à faire, de notre côté (japonais), c'est de les prendre pour un japonais moyen, et s'ils ne font pas le japonais moyen, c'est leur problème, pas le nôtre.

En Europe et en Am. du Nord, on a trop peur de se faire prendre pour des racistes à faire ça. On les encourage à être périphériques.

C'est un gros problème dans ma ville ici. On me salue tout le temps en anglais; on me laisse à la périphérie.Ma ville pense que c'est en faisant comme ça qu'ils vont s'internationaliser.C'est exactement ce que le Québec a fait pendant des années, et ça l'a surtout isolé le Québecois moyen.

Le devoir de l'individu qui rentre dans un village, c'est de s'y conformer. S'il ne s'y conforme pas, tant pis. Il y a discrimination et racisme seulement si celui déjà dans le village va prendre le nouvel habitant toujours d'une manière différente.

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